Les 5 et 6 mai, météo estivale pour les onze plateaux différents qui participaient aux courses de l’HVM Racing.

 

Prégrille des formules Ford.

 

Certainement le record de couches de vernis sur cette Ralt F 3.

 

Encore une Ralt F 3.

 

Une rare Mac Namara Formule Ford. Mac Namara, militaire américain basé en Allemagne, a fabriqué plusieurs monoplaces.

 

Bruno Mottez, pilote dijonnais venu tester sa nouvelle Martini MK 51 turbo obtient une belle cinquième place. En plus, il est copain avec des membres du Spirit Racer !

 

Boite à air fuselée sur Martini MK 42.

 

Sortie d’air sur le dessus du capot, Crossley 25 F.

 

Intéressante sortie d’air de radiateur avant, procurant le maximum d’appui : March 783.

 

Beau travail d’échappement : moteur Renault turbo.

 

Magnifique échappement, tout en courbes régulières.

 

Pour les constructeurs amateurs, la réalisation d’un échappement ;  les fixations par ressorts évitent les fêlures.

 

Châssis tubulaire classique, bonne source d’inspiration.

 

 

 

Réglage de parallélisme sur les roues arrière et culbuteur de suspension.

 

Indispensable, l’appuie « pied », à côté de la pédale d’embrayage. Zoom sur les fixations de triangles en « porte à faux ».

 

Radiateur d’eau et batterie en porte à faux avant, pour bien équilibrer les masses.

 

Porte-moyeux Van Dienem en mécano soudure et rondelles entretoises coniques pour augmenter le débattement de suspension.

 

Sur certaines monoplaces, le carter d’embrayage est très long pour avancer au maximum le centre de gravité.

 

Portique de levage, à copier.

 

Sublime Lotus Eleven (11), ou Apprendre à compter en anglais pour les nuls

 

Gorgeous, n’est-il pas ?

 

Petit clin d’œil à l’ami Patrick du Spirit Club, une Barquette Mallock, c’est une MK 32 B moteur 2 l Opel.

 

GRAC MT 14 à la carrosserie reconnaissable entre toutes. L’autre MT 14, engagée par Autodiva, a dû déclarer forfait avant la course pour casse d’un moteur super préparé… trop ?

 

 

Gros rétro panoramique.

 

Spécial carnets d’ateliers, les commandes de boites de vitesses, la solution pour les boites Renault.

 

 

Très belle Chevron B 8, moteur BMW 2 litres.

 

Détail de prise d’air.

 

Tableau de bord et pilote sympas.

 

Les TVR Grantura, parmi les préférées de la dream Team du Spirit Racer.

 

 

L’Alfa Tubolare, conduite avec ménagement.

 

Ma… quel beau CUL !

 

Vieille dame anglaise, cette Aston rentrera à la « ficelle ».

 

Moynet type Le Mans, moteur Simca JRD.

 

 

Position de conduite très inclinée, cette Moynet a remporté sa classe aux 24 heures du Mans, conduite par un équipage féminin.

 

À noter le levier de l’extincteur manuel ! Sauf erreur de ma part, cette Moynet est construite sur un châssis Costin en contreplaqué !

 

Plus de temps passé aux stands que sur la piste pour la Venturi, compagne de piste de la MGB de Jean-Luc du Spirit Racer qui, lui, a fini sur le… podium.

 

Toyota Supra, un « avion » qui prend régulièrement 20 secondes au tour à « notre » MGB.

 

La position en prégrille de Joséphine, la MGB du Spirit… Porsche, BM, etc., mais Joséphine la vaillante a rempli son contrat, énergiquement coaché par Paule-Line, la digne fille de son père. On en reparle dans un prochain reportage où on vous dira tout et même plus !

 

Craquante petite Alpine A 106 et Honda N 600.

 

Moteur Dauphine Gordini, en 904 cc.

 

 

 

Gros Weber DC pour gaver la première de la lignée des berlinettes Alpine.

 

 

 

 

 

Fiat X 1 9, Maxi 1300 Series.

 

 

 

Beaucoup de soucis électriques sur la Djet, le pauvre mécano passant le plus clair de son temps sous le tableau de bord (à l’ombre ?).

 

Préparation ultime sur la Jem à moteur Austin Mini ; les carburateurs Weber sont coupés en deux, le second corps est totalement supprimé. On s’éloigne de l’esprit des premiers Maxi milles qui permettaient de faire rouler des 4 CV et Panhard.

 

Le bicylindre de la Honda, d’origine moto ; traction avant et transmission par cardan. La plus petite voiture du plateau avec la Trabant. Zoom sur le réglage de carrossage du train avant Mac Pherson.

 

Après chaque course, les voitures sont bloquées en parc fermé pour 25 minutes, le temps de savoir s’il y a réclamation. Des contrôles sont effectués par les commissaires de la FFSA, armés de balances, appareils de mesures variés, etc. Ils se plongent dans la bible des passeports techniques, régisseurs tout puissants, suprêmement indifférents aux angoisses des pilotes qui se rongent les ongles. Ici, contrôle des dimensions de freins de la 205 GTI… OK, tout est bon… ce qui ne sera pas le cas pour tous !

Le site de l’organisateur.

À suivre, la course vue de l’intérieur de Joséphine, la MGB, et de son pilote, Jean-Luc.