Racers 500 -3 : suite et évolution

En Angleterre, des trois roues à moteur d’Austin Mini écument les courses de côte. Ils courent en catégorie side-car, avec un(e) passager(e).

Spécial Hill Climb anglais, à moteur de moto et traction avant.

Messerchmit en 250 ou 500 cc, ici la version records de vitesse.

Version trois roues propulsion à moteur central arrière de Honda CBR 1000.

Une étude d’un trois roues propulsion, le moteur est installé à côté du pilote.

Alors que l’on parle beaucoup de F 1 électrique, voici une étude d’une monoplace à châssis tubulaire, traction avant électrique. C’est aussi un exemple de châssis en tubes carrés, simple, léger, facile à construire.

Version monoplace tubulaire à moteur de moto en central arrière.

Quand un constructeur qui n’a rien d’un comique se lâche un peu, voilà sa version du side-car avec le pilote agenouillé.

Peugeot et d’autres constructeurs (Mercedes, VW) ont étudié des versions sportives à trois ou quatre roues aux roues arrière « jumelées ».

Hudson a choisi l’ensemble moteur boite dans la gamme des Renault 5, qui utilise le train avant d’origine ainsi que les bras de suspension arrière, solution économique. Il existe une version monoplace ou biplace en tandem.

Les moteurs Renault 5 vont de 45 à plus de 80 CV. Ils sont courants et fiables.

Les trois roues sont la recette idéale pour des records de vitesse, ne me demandez pas comment le pilote s’installe (et ressort) !

Certains ont accouplé un arrière de scooter et un train avant de kart, cela ne marche pas si mal que ça.