Il ne s’est pas construit que des Racers 500 à moteur arrière de moto ! Au début du mouvement, on trouvait des Racers traction avant, comme les bien connus Racer DB à moteur Panhard, ou d’autres à propulsion classique, moteur avant, et roues arrières motrices.

Les tractions avant

Racer DB et Monomille à moteur Panhard et traction avant.

 

 

Emeiryson, traction avant et moteur 500 Norton Manx sont reliés par une chaine, les freins avant à tambours sont fixés à côté du différentiel.

 

Mac Andless, traction avant et carrosserie tank, pas d’autres renseignements.

 

Découpe de présentation pour ce Racer allemand, traction avant, moteur V Twin, châssis type poutre centrale, un seul gros tube au-dessus duquel le pilote est assis.

 

Befiata : origine Allemagne, carrosserie aérodynamique.

 

Bond, pas la voiture de 007, mais un Racer à moteur Jap, traction avant et suspensions sur bloc caoutchouc, conception d’Alec Iguisonis, qui a dessiné la Mini Austin.

 

Racer inconnu, moteur de moto et traction avant.

 

Moteur de moto BMW.

 

VSM Belgique, traction avant, moteur Simca Topolino, suspensions et transmission DKW.

 

La VSM au GP des Frontières de Chimay.

 

Les propulsions à moteurs avant 

D’autres constructeurs, influencés par les magnifiques F1 et F2 à moteur avant et longs capots, postérieurs aux années soixante, ont fabriqué des monoplaces « classiques » à moteur avant et propulsion aux roues arrières.

 

 

Le Debuire, moteur avant Zundapp puis BMW, boite de vitesses Simca 8, pont de Simca coupé pour obtenir quatre roues indépendantes. Le pilote est assis au-dessus de l’arbre de transmission.

 

 

 

Racer BEC, moteur avant Gilera Saturno et transmission arrière.

 

 

Racer inconnu, moteur Zundapp, châssis et suspensions Simca 5, montage que l’on trouve assez souvent au début du mouvement Racer 500.

 

Inconnu, certainement moteur de moto BMW à l’avant, suspensions et peut-être châssis de Simca 5, un joli Racer !

 

Denis Spéciale : châssis tubulaire, moteur avant de moto Zundapp 500, l’arbre de transmission passe sous le siège pilote ce qui explique sa position surélevée, les quatre roues sont indépendantes.

 

Rougier : châssis, suspensions, moteur de Simca 5 habillé d’une carrosserie élégante, l’empattement est de 2,10 m et les voies font 1,10 m, poids 300 kg.

 

Simca Surva, là aussi sur base de Simca 5 y compris le moteur et la boite de vitesses. Surva était aussi un fabricant de compresseurs.

 

Fiat Simca 5 Spéciale.

 

Base de Simca 5 pour ce Racer dénommé Gordini. Pour faire plus vendeur ?

 

Toledo quatre cylindres  724 cc Crosley : moteur conçu au départ comme moteur auxiliaire de bombardiers, grâce à sa construction en tôles brasées dite CoBra, il ne pèse que 60 kg ; quatre roues indépendantes.

 

Base Simca.

 

 

 

Moteur de moto avant, quatre roues indépendantes.

 

Moteur avant de moto BMW châssis et pont Simca 5.

 

Falcone, moteur avant V twin Guzzi, un relais en tête de pont permet de baisser l’arbre de transmission et le pilote.

 

Bradfield.

 

Tiger kitten.

 

Emerblue.

 

GVB Zundapp.

 

Kahn.

 

Khan, moteur de moto, roues arrières motrices.

 

Tarrashi base Fiat.

 

Giaur Fiat.

 

Nagy.

 

Mélange de train avant à la Morgan et roues arrières motrices, refroidissement maxi pour le moteur JAP et, en cadeau, la petite glisse.

 

FRS : moteur de moto BMW R 51 à l’avant, empattement deux mètres, voies 1,10 m, poids 260 kg.

 

Chaix, base Simca 5.

 

Racer sur base de Simca 5.

 

Moteur de Simca 5 réduit à 500 cc et amélioré par deux carburateurs, collecteur d’échappement, des culasses spéciales furent fabriquées.

 

Bicylindre à plat à l’avant, l’arbre de transmission passe-t-il à côté du pilote comme sa position surbaissée (et rapprochée du volant) le laisse penser ?

 

H. Bossaert, carrossier dans le nord de la France, a construit plusieurs voitures, dont ce Racer à moteur de moto BMW avant.

 

Wifill, Racer américain, au style Indy Car, suspensions avant et arrière à essieux rigides, empattement court environ deux mètres, le pilote est assis très bas.

 

Le bicylindre Triumph est décalé à gauche du châssis ; une chaine le relie à la boite de vitesses, puis transmet la puissance à un axe arrière en passant à côté du pilote (un peu comme pour un kart) ; les roues sont des 12 pouces.

Ni avant ni arrière, mais sur le côté

Moteur ni à l’avant, ni à l’arrière, mais sur le côté… conjugué à un empattement très court, ce Racer de poche est plus un Midget de circuits ovales qu’un Racer destiné aux circuits rapides.