Luxe et sport à l’anglaise.

De 1955 à 1959, Jaguar a fabriqué le type MK 1 de 2,4 l puis la MK2 de 304 l ; à l’époque, on la considère comme la plus belle voiture du monde ou la berline de série la plus rapide de l’époque, qui permet de siroter « a cup of tea » tout en taquinant le chrono.

 

 

La Jaguar a gagné le Tour de France auto en 1960, 61, 62, pilotée par B. Consten, qui deviendra président de la FFSA.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Version préparée, 300 CV.

Les plus grands pilotes l’ont amenée à la victoire, Stirling Moss, Jack Brabham, Mike Hawtorn… la liste est longue.

 

 

 

 

L’intérieur : le luxe à l’anglaise.

 

 

Toujours le luxe, y compris en version course.

On lève le capot

 

 

Moteur six cylindres en ligne à ACT

  • 2,4 l sur la MK 1 de 120 CV ; 4000 t/min
  • 3,4 l. sur la ML 2 de 201 CV ; 5500 t/min
  • 3,9 l. sur la MK 2 de 220 CV ; 5500 t/min

 

 

 

 

 

La boite de vitesse

 

La boite de vitesse équipée de l’Overdrive, on lui reproche d’être mal synchronisée et d’avoir une sélection très ferme.

 

Le pont arrière rigide, guidé par des bras ; à l’avant ce sont des doubles triangles superposés, les quatre freins sont à disque.

Versions modifiées

 

Customisée et abaissée.

 

V 8 compresseur de XJR.

Chef designer chez Jaguar, Ian Callum a légèrement modifié les lignes de la voiture, l’a surbaissée, posée sur des roues à rayons de 17 pouces. La suspension arrière est à roues indépendantes et le moteur est un V 12 de XK 5,3 litres.