Ce sont les premières voitures de course des années 1900, biplaces (on emmenait le mécanicien), à la carrosserie simplifiée. On garde le châssis, l’avant de la carrosserie jusqu’au capot, on l’équipe de deux sièges baquets, d’un énorme réservoir à l’arrière et on y ajoute quelques roues de secours et bien entendu une boîte à outils.
De nos jours, plusieurs rallyes sont organisés dans des contrées peu habitées telles que l’Argentine ou l’Australie. Une tradition bien ancrée veut que si nécessaire, on se porte assistance tout au long d’un parcours constitué en majorité de chemins qui franchissent déserts, montagnes… Le tout en des voitures majoritairement des années trente avec la philosophie « moto », c’est-à-dire confort et protections réduits au minimum. Place à l’aventure… en photos.
Un peu de mécanique et révisions
Pas de protections
Alors heureux ?
Certes, la dimension, la géographie… de la France ne permet pas d’organiser ce genre d’événement. Mais, à son échelle, rien n’empêche d’imaginer la traversée d’une région (ou du pays) par les petites routes de campagne (vous savez, celles qui sont en blanc sur les cartes Michelin) bordées de restos, riches en produits régionaux, en chambres d’hôtes sympas et en curiosités touristiques avec un baquet des années trente reconstruit à partir d’une Citroën B2/C4, une Simca 5, une Peugeot 201…