En 1953, Gordini présente sa monoplace de formule 1. C’est une voiture conventionnelle à châssis tubulaire échelle. Le moteur de 2,5 l, huit cylindres en ligne, à ACT et quatre Weber est à l’avant et développe 250 CV. Ce sera sa dernière monoplace.

Quatre roues indépendantes, freins à disque Messier, boite 5, 703 kg, moteur type 25, 2,5 l, huit cylindres, 75 x 70, boite type 21, châssis type 32.

Profil aérodynamique, carénage des roues avant, malheureusement, elle est trop lourde, ce qui n’est pas l’habitude de la maison.

Je vous laisse imaginer la mélodie des huit tuyaux d’orgue.

 

Une certaine élégance.

 

 

Présentation à Monthléry en présence J.-M. Fangio, ancien pilote Gordini.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le beau moteur huit cylindres en ligne, deux ACT, quatre Webers.

 

 

 

Suspension arrière par roues indépendantes et freins accolés au pont, difficiles à refroidir.

 

 

Les suspensions sont à quatre roues indépendantes. La voiture est exposée à la cité de l’Automobile à Mulhouse, à visiter absolument !

 

 

Le gros cylindre à ailettes à l’avant du châssis et le refroidisseur d’huile.

 

Le principe des suspensions indépendantes par parallélogramme de Watts.

Trop lourde, elle participe à sept GP, avec beaucoup de casses moteur et de pont arrière mal refroidi. Son meilleur classement : sixième à Monaco.

Pour les amoureux des Gordini, le livre de référence : les Gordini de Robbert Jarraud, éditions de l’Automobilis.