Cooper MK VII – 1953 – T 26, 500cc, T 27, 1000 cc, châssis modifié par Francis Bart la Mk VII A.
Cooper MK VIII – 1954 – châssis tubes cintrés, carrosserie affinée, nouveaux supports de boite, T 31, 500cc, T 32, 1000 cc, T 28 carrosserie profilée.
L’équipe Cooper présente la MK VIII. John la pilotera lui-même pendant plusieurs années se constituant un beau palmarès, aussi bien en circuit que lors de records du monde de vitesse.
Cooper MK IX, simple disque de frein arrière, garde au sol réduite, nouveaux supports moteurs, T 36, 500 cc, T 37, 1000 cc.
Pour améliorer le refroidissement du moteur, celui-ci est à l’air libre et à alimentation à l’alcool.
À noter le système de réglage de dureté des lames de ressorts de la suspension, chez Cooper on maitrise bien les suspensions à lames. Surprenant, les rétroviseurs fixés sur les lames de ressort.
Carburateur à double cuve pour éviter le déjaugeage (comme sur les sidecars) le réservoir d’huile est à l’extrême arrière, le moteur Norton est incliné de 10 ° vers l’arrière.
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Un article très intéressant et instructif ,super travail de recherche Guy !!!!
Très intéressant, ca démystifie le mythe de l’artisan Anglais
J’ai lu il y a fort longtemps sur un morceau de journal Le Bien Public des années cinquante qu’une course de Racer c’était déroulée sur les allées du Parc à Dijon.
Si infos merci.
François Bélorgey