Le prototype 1946 T2/T 3, fabriqué à deux exemplaires.
Premier départ à la course de côte de Prescott, J. Brandon est au volant.
Les deux premiers Racers, première version de calandre ; un conduit qui passe à côté du pilote amène l’air de refroidissement au moteur.
Teatime pour J. Brandon.
Cooper MK II 1948, T 5, première commercialisation, deux versions, châssis 500 cc ou 1000 cc.
Premiers reportages dans Motor Sport.
Les premiers châssis, deux gros longerons principaux, reliés par des traverses ; une armature en tubes soutient la carrosserie.
Alimentation d’essence par gravité, le réservoir est au-dessus du moteur comme pour une moto, monocylindre à refroidissement par air, transmission arrière sans différentiel, ressorts de suspension à lames, jantes alliages légers. Remarquez les perçages du tableau de bord et du volant.
Le pilote a eu la gentillesse d’enlever le capot moteur ce qui permet de bien voir le réservoir de carburant, les Racers roulent au mélange alcool/méthanol… chacun a ses propres recettes, jalousement gardées.
En plus de la prise d’air dans la calandre, des écopes canalisent l’air de refroidissement vers le moteur.
Sur cette photo, à côté du baquet, on voit bien le tuyau d’amenée d’air au moteur.
L’ex Racer d’Harry Schell exposé à Epoqu’auto de Lyon.
Débuts difficiles des Cooper à Monaco. Mais la revanche viendra.
Stirling Moss a commencé sa carrière sur Racer 500.
Stirling, jeune et… chevelu !
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Un article très intéressant et instructif ,super travail de recherche Guy !!!!
Très intéressant, ca démystifie le mythe de l’artisan Anglais