Apprentissage
1949, Mr Blandfort finit sur… dans la paille.
Peter Collins, futur champion du monde de F1, à ses débuts.
Toujours P. Collins à Silverstone, en 1951.
Stirling Moss apprend son métier.
Un des rares accidents mortels, le champion français Raymond Sommer se tue à Cabour après une sortie de route sur une trace d’huile.
Eh oui, quelquefois on rentre à pied !
Damon Hill le fils de… essaie un Racer, Graham, son père, a plutôt choisi Lotus que Cooper à ses débuts.
Jack Brabham, Jane Mansfield, à chacun son record du tour, et Charles Cooper qui fait semblant de ne pas voir la main de Jane.
Ken Tyrrell a aussi donné dans les Coopers avant de créer son écurie de F1.
Bernie Ecclestone, un certain palmarès en Racer avant de s’occuper de la F 1 actuelle.
Parfois un peu de casse.
Attitude classique en virage.
Un Racer biplace ? Cela viendra avec la barquette Monaco, mais là c’est Stirling Moss qui a fait du stop.
Les premiers modèles utilisent des trains roulants de Simca 5 et les jantes d’origine.
Sous l’impulsion de Charles Cooper, la commercialisation des Racer 500 est lancée.
Exposition des Coopers.
Chez Cooper, on fabrique même la remorque, le détail : les mêmes jantes que le Racer.
Un Racer équipé de petites ailes à côté d’une F 3 à train avant Renault 4 CV.
Pas de démarreur, mais des copains.
Les Racers 500 ont beaucoup couru aux USA, ici Santa Barbara en 1955.
Déjà des « Fan Girls » en 1949.
Gros succès des courses de F 3 Racer 500, elles sont nombreuses en GB, Belgique, Allemagne, Suède, Italie, France, aux USA.
C’est écrit dans le journal ! En 1955, certains n’hésitent pas de mettre le quatre cylindres Ford, prémices des futures formules Junior.
Ici c’est un Porsche 1750 cc dans le châssis de la monoplace, puis il y aura une ultime évolution en version barquette monoplace, sur un châssis élargi.
Un article très intéressant et instructif ,super travail de recherche Guy !!!!
Très intéressant, ca démystifie le mythe de l’artisan Anglais