Organisés sur les places des villes et villages et sur les parkings de supermarchés, ils ont pratiquement disparus, tout comme les petites épreuves régionales, rallyes ou courses de côte.
Le spectacle était au rendez-vous, jusque 5000 spectateurs, les buvettes étaient bondées ; le public appréciait les « petites sorties » de routes, pas bien méchantes. Il était possible de construire, modifier ou préparer ses voitures. Sans tomber dans le « c’était mieux avant », on peut malgré tout regretter que cette époque soit pratiquement révolue.
De nombreux pilotes et constructeurs ont débuté en slalom
Les 4 CV, les chouchous du public. faciles a préparer en mélangeant les pièces de 4 cv ,Dauphine,R 8, d’abord modifier l’échappement, baisser la suspension, des pneus larges…
Une 4 CV, le public, la buvette, la place du village, les bottes de paille et les cônes, les coupes offertes par les commerçants toute une ambiance !
La 4 cv de la photo est équipée de roues dites a étoiles, il suffisait de les retourner et résultat voie alargie
Comme pour les autos écoles montage d’une lunette arrière de Peugeot 203
Les barquettes, souvent en construction amateur.
la NSU et son moteur fabuleux à 8000trmn, transformée en barquette, les écolos n’avaient pas inventé le changement climatique, les apprentis constructeur découvraient la disqueuse.
Les 2 CV faisaient le spectacle et… déboitaient leurs cardans.
Le train avant de la R 12 et ses faiblesses
Monoplace à châssis tubulaires et trains avant et arrière récupérés sur une Renault 8 accidentée (courantes à l’époque).
Le circuit, le tour de l’église ou du quartier.
Les tonneaux, espérés par certains spectateurs.