Pour la saison 1987, Guy Verrier, responsable du service course de Citroën, décide d’engager les Ax en super production. La préparation est confiée à Danielson ; le financement est assuré par les concessionnaires Citroën.

Comme le règlement autorise beaucoup de transformations, se cache, sous une carrosserie élargie et surbaissée en partie en polyester, le moteur TU de 1360 cc, amélioré par la pose d’un turbo Garett. À portée du pilote, la molette de réglage permet jusque 2,8 bars de pression et 380 CV pour 850 kg, le tout tiré par les roues avant.

Après la mise au point de la transmission, de son pont auto bloquant et de la direction assistée, une 2e version à moteur 1580, deux ACT de 480 CV. Les suspensions sont travaillées et un nouveau train arrière est fabriqué.

Jantes de 17 pouces, pneus, 27/68/17 et 26/64/17.

 

Moteur 1360 turbo de 330 CV, puis 380 CV et 480 CV pour une ultime version de 1580 cc à deux ACT, disposant d’un système d’injection d’eau, de soupapes refroidies au sodium et d’un radiateur d’eau plus grand.

 

 

 

 

Pour améliorer la répartition des masses, le pilote est assis à droite, l’Ax est prévue en version quatre roues motrices, comme le montre le tunnel central qui sera adapté sur la BX 16/S 4 x 4.

 

 

Le nouveau train arrière.

 

La suspension avant garde le principe du Mac Pherson, sur un moyeu en mécano soudé ; les disques de freins sont énormes, la direction est une Diravi de CX

 

 

Trois exemplaires ont été fabriqués.