Voici la version brute et non corrigée de la traduction « Google » (cela a son charme n’est-il pas ?) du texte sur les Sporting Trial : « À propos des essais sportifs : essais sportifs est le développement ultime des essais de voiture deux roues motrices et est unique que les sports automobiles vont. Comme la plupart des essais, il ne s’agit pas de vitesse. Le but d’un essai est de conduire aussi loin que possible sur une section aménagée sans s’arrêter. Chaque section est marquée avec des poteaux pour former une route sinueuse sur une colline glissante, parfois des sections seront si glissantes et raides que vous êtes incapable de les monter.

Pour aider chaque pilote, il y a un passager dans la voiture qui déplace son poids pour obtenir la meilleure traction possible sur chaque roue. Le plus sur un conducteur se lève une section le plus bas le score. Le pilote ayant le score le plus bas de la journée est le gagnant.

Il y a un championnat pour les pilotes et les passagers. »

Il faut souligner que le Sporting trial n’accepte que des voitures deux roues motrices correspondant à ce règlement :

 

 

Action ! Le jeu consiste à passer entre des piquets, sans les toucher !

Les Sporting trial sont des deux roues motrices arrière, sans blocage de différentiel, mais avec freins à main séparés sur les roues arrière.

 

 

Ni casque, ni arceau et décontraction à l’Anglaise !

 

Le passager fait contrepoids, mais doit rester à sa place. Les crémaillères de direction sont souvent fixées directement sur l’essieu.

 

 

 

 

 

Pas de droit à l’erreur, il faut bien choisir sa trajectoire, ce n’est pas du pilotage « bourrin « de 4×4.

 

Deux freins à main séparés, ça aide pour tourner !

La construction

Un moteur de moins de 1600 cc provenant d’une traction avant, pivoté de 90° et positionné en « central avant » ; le différentiel est bloqué, un arbre de transmission transmet le mouvement à un pont rigide arrière augmentant la démultiplication. Un essieu rigide à grand débattement à l’avant, et, très important, des doubles freins arrière indépendants pour augmenter la maniabilité et l’adhérence.

 

Châssis ultra léger et grandes roues avant (moto), les roues arrière sont en 15 pouces et uniquement en profil neige, pas de pneus à tétines.

 

 

 

 

 

 

 

Il existe aussi une catégorie à moteur VW Coccinelle, en porte-à-faux arrière, comme un Buggy.

 

On trouve aussi des moteurs de motos.

 

 

Ici, un moteur Yamaha Ténéré.

 

Ça donne envie de se promener dans les sous-bois, puis, une fois rentré, de déguster, confortablement installé une boisson écossaise lentement vieillie en fût de chêne… n’est-il pas ?

À noter, c’est dans cette discipline que Colin Chapman «papa Lotus » a commencé la compétition.