Pour son dernier roulage de l’année 2018, le Spirit a expérimenté toutes les figures possibles sur piste détrempée !

Dernier roulage de l’année, réservé aux membres du club qui ont l’option « insubmersible » ou qui sont détenteur d’un « brevet de plongée ». Deux jours avant, des chutes de neige laissaient présager le pire, mais Claude, coiffé de la double casquette de Président du club et de responsable de la météo des roulages a mobilisé ses relations… résultat la neige n’a tenu que quelques petites heures, mais a laissé place à un épais brouillard ! Encore un effort, le brouillard se lève. Mais il est remplacé par une pluie battante. Pressentant son échec, Claude (accompagné par Catherine) est venu, mais en berline, confortable et chauffée !

Au circuit, nous retrouvons nos copains de Méca-Passion 21, venus faire rouler la Seven montée par les membres du club. Gérard a ouvert la petite brasserie du circuit. Au menu de ce midi, sa choucroute est la bienvenue.

Mathilde, la responsable du circuit, nous réchauffe de son sourire ! Trois racers et la Seven expérimentent la conduite sur sol mouillé… très mouillé. Bien entendu, aucune voiture n’a de pare-brise… buée sur les lunettes, sur la visière des casques, festival de tête à queue, de tout droit, de roues bloquées, de trajectoires très aléatoires… Heureusement, à Pouilly, il n’y a ni mur ni glissières ! Christian met au point et répète consciencieusement sa nouvelle figure, un 360 ° qui se termine en marche arrière dans une énorme flaque d’eau.

Malgré ces conditions météo très défavorables, aucun d’incident, toutes les voitures ont bien fonctionné, y compris les allumages. Quant aux pilotes et spectateurs amis, nous attendons encore l’écho d’éventuels éternuements en série. Le taux de survie doit donc atteindre les 100 % !

 

Petite accalmie à l’heure du midi… courte accalmie, et c’est parti pour un après-midi d’averses… bien froides !

 

 

Le palmier d’Auto Folies est bien arrosé.

 

Racer Monomille d’autocross ? Qu’on se rassure Christian n’a pas ramené toute l’herbe du circuit chez lui en Auvergne, il en a laissé pour les prochains roulages.

 

 

Recroquevillés, emmitouflés, réfrigérés, trempés, traversés, lessivés, nous finissons tous réfugiés sous le petit abri, seul le gâteau au chocolat de Joëlle nous a consolés !

On remet ça au printemps bien sûr.