Les racers 500 des années cinquante continuent de rouler en Angleterre. Merci à Dominique Nusbaumer (du club formule Vee) pour les images.
Ambiance 1950 en noir et blanc.
Moteurs 500 cc de moto.
Des racers 500 furent carrossés.
En Allemagne, on préfère le moteur flat twin de la BMW.
Pour les constructeurs amateurs : la suspension arrière du Kieft, une bande de caoutchouc ou des sandows reliés à une chaine relient les deux bras de suspension. Facile à construire et à régler !
Moteur de moto et traction avant.
Le racer Monaco, une monoplace de poche.
Emeryson, traction avant et suspensions par anneaux de caoutchouc.
Les racers du Spirit Racer Club
Plusieurs monoplaces de construction artisanale permettent de revivre l’aventure des racers 500.
Moteur de moto
Le M 20 de Guy, moteur 600 Yamaha quatre temps monocylindre, transmission aux roues arrière par chaine sans différentiel, roues étroites de 15 pouces, freins tambours. Christian, son nouveau propriétaire, a installé un moteur 500 GPZ et révisé le châssis.
Un carnet de construction est édité, plusieurs racers sont en chantier, dont le magnifique de Camille.
Le racer DH de Daniel, moteur 500 GPZ suspensions par lames de ressorts, un habitué des montées historiques.
Les racers à moteur Panhard
Deux racers Panhard au club, ceux de Christian et Pascal, moteur Panhard bicylindre et traction avant, ce sont les seuls racers 500 français à avoir tenu tête aux Anglais à l’époque.
Plusieurs CC 21, la carrosserie est moulée sur un Racer DB Janiaud, le moteur est le 602 cc de la 2 CV, châssis tubulaire, kit fabriqué par Loisirs Créations, certainement la monoplace la plus économique, le racer pour tous