Bona : plus de 80 engagés pour la 17e édition, un temps agréable, des organisateurs sympas, un public nombreux et enthousiaste… tous les ingrédients sont réunis pour se mijoter une montée à la Dingo Gordo Nivernais.

Des 4 CV/Dauphine protos, spécialité du club, comme on n’en voit nulle part ailleurs.

 

Coupe de la malchance pour le directeur de course, non, il ne s’est pas fait rouler sur le pied, mais en allant vérifier le parcours, la fusée avant gauche de sa R8 Gord’ s’est cassé net, la roue est partie vivre sa vie en compagnie du disque de frein, heureusement sans toucher la belle aile gonflée en poly.

Quelques 4 CV bodybuildées et survitaminées, moteur Gordini, R5 Alpine, Clio etc.

 

 

 

 

Bien sûr, la magnifique Dauphine de J-L Caillat était présente.

 

Une R 12, un peu sous-vireuse ?

 

Même une R 10.

 

Deux R 17, dont celle-ci à la décoration course.

 

 

Toute la gamme Alpine

 

Sauf erreur de ma part, celle-ci a remporté la coupe de la plus belle.

 

Une Ami 8 en montée historique, manque peut-être un peu d’air dans le pneu avant, pilotage simple « TOUTAFOND ».

 

Magnifique NSU.

 

Notre copain Claude et sa petite BMW 1700 aux amortisseurs (très) souples.

 

François « Belo », toujours une anecdote, un souvenir à rappeler. Il est aussi l’organisateur du Tour de Bourgogne Classic une date à retenir, du 12 au 14 octobre.

 

 

Rare Smircar

Une monoplace à moteur Renault, une barquette ARC, le Racer M 20 pour le plateau proto et monoplaces

 

Superbe barquette Arc, moteur Simca préparé, boite HW, une bombe.

 

C’est un plaisir de détailler la qualité de restauration.

 

Que de travail sur cette prise d’air !

 

Rétroviseurs profilés.

 

Le détail qui tue, l’appuie tête !

 

Tradition bien agréable chez les Dingos Gordos, la parade de tous les concurrents en fin de journée, le public apprécie.

Et le Racer M 20  ? Ou quand il n’y a pas de chaîne, il n’y a pas de plaisir !

 

Samedi après-midi, bronzette pour le M 20 dans l’immense parc pilote, à l’orée d’un petit bois, tout va bien, son pilote est parti en direction des « verres de contact »

Première montée, crac, la chaîne saute, pas fait 10 mètres ! Deuxième montée, le câble accélérateur coince, même pas rejoint la ligne de départ ! Troisième montée, recrac, la chaîne re-saute au bout de15 mètres (là, il y a du mieux). Les commentaires du pilote, assourdis par le casque, ne sont pas publiables.

 

Quoi, qu’est-ce qu’elle a ma chaîne ?

 

Bravo au photographe qui a réussi l’instantané du seul passage de la journée !

À refaire l’an prochain, il y a une revanche à prendre.

Photos de Greg Perret, GRT 18, Guyecar, page FB des Dingos gordos.