La victoire du Français Simon Pagenaud aux 500 miles d’Indianapolis nous fournit l’occasion de faire un retour sur les roadsters classiques, monstres à moteurs avant, souvent équipés de suspensions à essieux rigides.
Longs capots et culs pointus.
Le cockpit
La construction
- Les moteurs
Selon les années, ce sont d’abord des 3 litres suralimentés ou 4,5 l atmo, puis des 4,2 L atmo et 2,8 l suralimentés ; en majorité des quatre cylindres Offenhauseur (dérivés du quatre cylindres Peugeot de 1912 !) ou des V 8. En 1973, la puissance était de 900 CV. Mais on trouve aussi des diesels et des turbines à gaz, des transmissions propulsions ou tractions avant. À partir de 1953, suprématie des roadsters à moteurs avant et roues motrices arrière ; en 1961 Jack Brabham amène une Cooper Climax, puis viennent Lotus et Jim Clark. Désormais, les voitures seront toutes des monoplaces à moteur central, inspirées de F 1 européennes, c’est la fin des dinosaures !
- Châssis et suspensions
- Les plans
- Ravitaillement
- Crash
- Évolution
Le style des roadsters a influencé de nombreux designers.
Simon Pagenaud vainqueur et meilleur tour 2019.
- Les livres
Beaucoup de livres sur les 500 miles d’Indy, mais en anglais… Par contre, un beau livre de dessins signés D. Sire et W. Pac, aux éditions du Palmier, en français