Même s’il est présenté comme le deuxième salon de France, beaucoup le considèrent comme le premier ! L’édition 2019 s’est agrandie d’une aile supplémentaire et l’on a toujours autant de mal (voire plus) à s’y repérer ! Mais quel beau salon !

De nombreuses marques sont mises à l’honneur : Delage, Maserati, Gnome et Rhône, Berliet, les coupés Young Timmer, etc.  Très importantes, les rencontres entre amis, que de conversations passionnantes et de projets en cours !

Seuls les amateurs de maquettes seront un peu déçus, trop de maquettes sans intérêt, issues des séries presse, que l’on trouve partout et qui noient de leur banalité les rares fabricants marginaux.

Le salon commence à l’extérieur, avec l’immense parking réservé aux voitures de collection.

 

 

 L’espace Citroën compétition

 

2 CV Barbot de records du monde, dès l’entrée du salon.

 

Rare monoplace (immatriculée, heureuse époque !), fabriquée à partir d’une traction avant.

Suite de la visite

Barquette Renault au profil en aile d’avion.

 

Barquette CG.

 

Pas de salon lyonnais sans Marcadier, le constructeur local, recréation plus belle que l’originale.

 

Stand Autodiva « spécial Crossley »

Sur le stand Autodiva, nous avons rencontré un des responsables du Racer Club de France, ils ont des projets de courses de racers en 2020, destinés aux Monomil à moteur Panhard et aussi aux racers à moteur de moto de 500 cc, mais attention à l’escalade financière (qui avait déjà tué le mouvement à l’époque), avec les risques de préparations mécaniques à outrance, à l’exemple de Panhard (distribution, soupapes, pistons, embiellages, réalésages…). Les racers doivent rester économiques, ouverts aux « constructeurs sans patente »… Nous préparons une charte du racer pour expliquer tout ça.

Magnifique expo du constructeur Crossley, la barquette est toujours fabriquée.

 

Belle brochette de formules Ford, Crossley continue de fournir toutes les pièces de ses créations. Un bon plan pour ceux qui pratiquent la Formule Ford.

 

L’œil d’aigle de Claude, le président du Spirit Racer Club, a remarqué la construction en mécanosoudure des moyeux avant Crossley. Une idée à reprendre pour un constructeur sans patente.

 

La recette ? Un support en tube carré et la fixation par boulons d’un moyeu de roue arrière repassé à l’avant.

 

 

Installez-vous dans la Crossley du Racing School de Charade.

 

Châssis brasé comme avant.

 

On se rapproche et on admire la qualité.

Maserati

Photos de « culs » chez Maserati.

 

La 300 S, un projet de remise en état de cette barquette est en cours quelque part en France… mais chut, on n’a rien dit !

 

Les anciennes formules à long capot.

Projets de construction

Jannarelly

 

Jannarelly, moteur Nissan V 6 de 325 cv et 800 kg, carrosserie inspirée par la Ferrari Testa Rossa, le toit se soulève d’un bloc, plusieurs versions de carrosserie.

 

Le studio de design Jannarelly est basé à Dubaï.

 

Devalliet

Devalliet Mugello 120 F, moteur trois cylindres turbo 120 CV, 6500 t/min, 630 kg.

 

Homologation routière en cours.

 

Châssis en aluminium soudé.

 

Barquette 356, il y avait aussi une carrosserie d’Alpine Berlinette.

 

Pour les touts petits.

 

Pour les grands… vous pourrez faire un tour de circuit dans une Porsche 917 identique à celle-ci, au circuit de l’Auxois, à l’occasion du Téléthon le 17 novembre.

 

Cyclecar Salmson, en toute simplicité.

Magnifique exposition Delage

 

 

 

Le fabuleux huit cylindres en ligne et ses compresseurs.

 

Parenthèses mécaniques

Pignons de distribution en alu, la solution pour fiabiliser un moteur Panhard, certains montent des pistons de motos BMW, soupapes et vilebrequin renforcés sur les racers Monomil.

 

 

Châssis de Facel Vega en tubes ronds (environ 10 cm de diamètre) soudés, lames de ressort, montage typique des années cinquante.

 

Message personnel pour Maurice : le train avant à coulisseaux du trois roues Darmont.

 

La reconstruction d’une barquette Gordini en alu par un formidable tôlier formeur, passionné par son métier.

 

Refabrication de carrosserie.

 

Chez les marchands de pièces, on trouve de tout, les fournisseurs de catalogues sont capables de vous dénicher de la documentation rare.

 

Thierry Dubois et les dessinateurs, véritables forçats de la dédicace.

 

Félicie, la fameuse 202 de la tentative de records en vente pour financer d’autres projets fous : une balade de Paris à l’Alpe-d’Huez en hiver avec trois motos 125 Motobécane D 45, et, plus difficile, une reconstitution d’un record de 24 heures, à bord d’une Austin 1927. Objectif : plus de 108 km/h de moyenne !

 

Spécialement pour notre copain Jean, dit la Bible de l’auto, afin de lui rappeler sa belle jeunesse toute proche.

 

Les motos : de plus en plus, au salon on en trouve des belles

Gnome et Rhône étaient aussi constructeurs de moteurs d’avions.

 

Gnome course à moteur deux-temps et culasse Maucourant… je crois !

 

Kholler Escofier, constructeurs lyonnais.

 

 

 

Zundapp et Scrab, pour les frères Audry. Pour les amateurs d’aventure vécue, un livre écrit sur l’ABF par Pierre Audry, c’est passionnant.

 

Les camions

Les coulisses

Coulisses du salon, derrière le stand Egel, spécialiste des avant-guerres et point de ralliement du Spirit Racer, ou quand les Morvandiaux sortent de leurs tanières… Une partie de l’équipe sera au Téléthon le 17 novembre et au roulage du Spirit Racer Club le 22 novembre, sur le circuit de l’Auxois à Pouilly.

 

C’est épuisant trois jours de salon !

 

Gueules de bagnoles

Depuis que le photographe a un nouvel appareil à écran inclinable, il fait de la photo au ras du sol, sans être obligé de se mettre à quatre pattes, quel progrès !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On espère que cette visite d’Époqu’auto 2019, en compagnie de notre guide vous à plu… à bientôt !