Après la construction d’un Racer à moteur de moto, voici celle d’une monoplace de loisirs, un Racer « Junior » à moteur arrière de voiture, économique et facile à conduire.
Entrée bien triste, éclairage terne, moquettes fatiguées et sono de quai de gare des années cinquante, suppression du parking réservé aux voitures de collection… l’entrée au salon de Dijon laisse craindre le pire ! Mais collectionneurs enthousiastes et clubs dynamiques font vite oublier ces impressions négatives. Plateau riche et varié, 120 exposants, 400 véhicules : de quoi satisfaire les goûts des 16 000 visiteurs. Quant aux « Spirits », la part importante réservée à la compétition les a comblés. Et, cerise sur le capot, ce salon où beaucoup se connaissent est aussi l’occasion de rencontres et de retrouvailles entre passionnés.